Anne Peko - accueil

Anne Pekoslawska emprunte les chemins de la Môme avec respect et modestie, mais aussi avec conviction. Ce chant-là n’est pas opportuniste : il est le fruit d’une rencontre entre la fibre lyrico-réaliste d’une tradition très forte en Europe de l’Est (avant elle Ewa Demerczyk, par exemple) et ce mythe si présent à toutes les mémoires. Le choix des titres fait la part des grands classiques et des œuvres un peu moins célèbres que l’on redécouvre ici avec bonheur : "Correqu’ et réguyer", "Carmen story" ou "Opinion publique". Et la voix brisée d’Anne Pekoslawska confère aux textes et aux mélodies une sorte de déchirement qui ne fait qu’en souligner, si besoin était, leur pérennité.
François-Régis Barbry - CHORUS Les cahiers de la chanson

… Un spectacle de haut niveau. Un public envoûté par le charme de cette voix et de cette présence…
REVUE DES ARTS MUSICAUX - Sichuan-Chengdu - Chine

… Une voix superbe, une sensualité raffinée, une flamboyance slave…
Jérôme Bourgine - MADAME FIGARO

Personnage spontané, tragi-comique, issu du théâtre et partageant avec la grande ancêtre l'intensité émotionnelle et l'intelligence musicale. Une exigence certaine la pousse à aller plus loin, prolonger au saxophone et exister physiquement... et puis, il y eut, en rappel, ce formidable "Jezebel" a capella, mélopée arabisante et rauque, flamboyante de solitude, en "direct live" des tripes...
LA RÉPUBLIQUE DES PYRÉNÉES

... Troublante, fragile et belle, fascinante avec son saxo dont elle joue avec une rare sensualité...
LE PARISIEN

... La voix ouverte dans l'infini... la môme Peko ressuscite avec fougue Piaf et rend avec délicatesse son éternité à Madame... Nos sincères remerciements pour ce morceau de bonheur.
LA DÉPÊCHE DU MIDI

La voix d’Anne Peko est, elle aussi, tissu, voile, velours, drap, tissés en vocalises de toutes les émotions. Les spectateurs sont là, japonais, hollandais, esquimaux, martiens, à reprendre en chœur "La vie en rose". La chanson, c’est le lieu planétaire du partage universel. Une unanimité que l’on croyait perdue en ces temps de crise égocentrique et de repliement sur soi. Édith Piaf, Anne Peko, voix de femmes, belles, joyeuses, tristes, incroyablement vivantes. Je suis encore sous le charme !
Claude Kraif - REVUE-SPECTACLE.COM - Avignon 2006

De Piaf, elle a le timbre rauque, intérieur sombre, mais elle a en plus une flamboyance slave et un port de reine. Lorsque la Peko chante, ce n'est pas une énième rétrospective, c'est une interprétation : saxo, rythme et engagement physique font partie du spectacle.
CÔTÉ-SCÈNE - Lyon

… Véritable perle, Anne Peko reprend avec brio le répertoire de Piaf. Tantôt sensuelle, tantôt sensible, elle enflamme le public. L'émotion est là. Piaf a disparu. Seule Anne Peko, sublime, reste sur scène. une rencontre à ne pas manquer !
LA GAZETTE DU FESTIVAL D'AVIGNON - 2005

...On a rarement vu une chanteuse vanter la "drôlerie" de la "Môme", ni travailler autant et aussi justement sa "théâtralité". Et puis cette qualité partagée avec Édith Piaf qui fut si bien élucidée par Cocteau : "Je n’ai jamais connu d’être moins économe de son âme."
Marc Joyeux - LE QUOTIDIEN DE PARIS

... Quand elle chante, c'est tout son corps qui chante... Nous avons vécu un évènement rare...
MAINZER RHEIN-ZEITUNG

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Anne Peko

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